Langagenre sous la langue comme une fièvre. Grammaire en sueur. Corps sans syntaxe. Grammidentité en torsion, pronomorphe déboîté du je. Lexisgenre ruisselle entre les dents, gorge écorchée par la norme. Langouine. Langue blessée à force de dire faux. Glitchgenre dans chaque voyelle, dysfonction douce, béance de sens. Il faut déspronomer la bouche, la vider de ses carcans. Transpoésie en excès, verbeffraction comme incision douce. Rien ne se tient. Tout tremble. Normalyse impossible.
Sémantasigné : mot tatoué sur peau muette. Dégenraturer la phrase. Raturer les corps. Corponyme. Poétrouble. Débordement. Dysphrasie. Tâtonner. Balbutier. Chuter dans l’étymologenre, avaler les racines infectées, recracher la binaritétymologie en sang noir. Patriarcapostrophe plantée dans la gorge, refus de la virgule genrée. Fluidentité qui fuit hors du sens. Lexinclusion comme blessure lente.
Syllabiqueer. Rythme vrillé. Allitératioppression s’écrase contre les dents. Assonandrogyne halète. Déconstruconjugaison partout. Langrage. Poetrans. Tissu vocal en feu. Hors hétéronarration. Hors de tout.
Essentialangue à nu. Pronomisation arrachée. Performidentité dans le souffle. Dyspholinguistique à vif. Mysoginfinitif pulvérisé. Binaritantonyme pour respirer. Troublecture. Hypercisité. Identinarration éparpillée. Invisibilangage qui hurle en silence. Mégenrogramme sur la peau du texte. Récitoppression effacée par le vent. Reste : une trace. Une langue. Une transécriture. Et un versinclusif qui palpite.

